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russie - Page 2

  • suite de la note du dessous

    Bon l'euphorie n a pas duré longtemps rattrapé par le réel. Après le géant allemand BASF puis Mercedes, voilà cocorico Michelin....Un tsunami, je vous dis, on va pouvoir sauver tout le monde...Quelle folie la guerre sans guerre...

    La Générale des Etablissements Michelin a réaffirmé une partie de ses prévisions pour cette année, mais a réduit ses prévisions de flux de trésorerie disponible structurel à 700 millions d’euros (702 millions de dollars) contre 1,2 milliard d’euros, principalement en raison de ce que le directeur financier Yves Chapot a appelé « l’hyperinflation » des coûts de l’énergie, des matières premières et des transports.

    Chapot a déclaré que les dépenses de Michelin augmenteraient de 2,6 milliards d’euros cette année. La société a répercuté les augmentations de prix sur les constructeurs automobiles qui achètent ses pneus cette année, bien que les négociations aient été longues, a déclaré le directeur financier.

     

  • Pustula



    US shale bosses tell Europe: ‘There’s no bailout coming’ | Financial Times (ft.com)

    Le discours de Pustula Von der Leyen dans son pipoti à Strasbourg, est configuré comme une condamnation potentielle de l’Europe au rôle d’otage perpétuel. Et au grand risque d’un effondrement économique et social pendant les mois d’hiver.

    L’industrie américaine du schiste, en fait, a clairement averti les autorités de l’impossibilité d’un approvisionnement supplémentaire en pétrole et en gaz liquéfiés qui fonctionnent comme un renflouement énergétique du Vieux Continent cet hiver. En fait, l’Amérique de la chimère du GNL qui avait généré ce printemps l’illusion d’une libération immédiate et indolore de Gazprom vient de tourner le dos à l’Europe. Et au pire moment, en plein arrêt des flux en provenance de Moscou et avec des prix sur le marché au comptant de retour à la hausse. Et cela a déjà généré des risques d’appels de marge pour les services publics, comme forcer au moins quatre gouvernements européens à intervenir avec des milliards de renflouements.

  • Les derniers temps

    Dunkerque Aluminium, premier producteur européen d’aluminium, commencera les opérations de réduction de la production à partir du 12 septembre, ce qui portera la production à -22% d’ici le 1er octobre par rapport au niveau normal en raison de la non-durabilité des coûts de l’énergie. En fait, un cinquième de la production a disparu. Et le PDG du groupe, Guillaume de Goys. il n’a pas mâché ses mots en décrivant l’impact de la décision, tant au niveau du marché que symboliquement : le secteur a déjà payé un prix très élevé à la crise énergétique. Et à la lumière de cette nouvelle réduction obligatoire, il faut clairement indiquer que de nouvelles réductions signifieraient la perte de souveraineté productive pour l’UE. Quelque chose de très négatifÀ cela s’ajoute la fermeture totale d’une fonderie en Slovaquie de Norsk Hydro ASA. La situation est littéralement CATASTROPHIQUE