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ukraine - Page 6

  • Mon week end chez les scalpeurs

    scalping,crise,crsh,date,crack,vive la fin,ukraine,russie,economie de guerre sasn guerreBon alors là les amis nécro, je suis allé sur le terrain dans le milieu des scalpeurs américains. J'en reviens avec le scoop nécro.

    Pour résumé, le choix de la FED sera d'éviter le choix qui fait le moins peur entre l'inflation qui va se rapprocher des deux chiffres et la Récesssion qui pourrait être encore plus effrayante. Bref, le cauchemar garanti...

    Si nous atteignons vraiment un point d’augmentation dans deux mois, en entrant dans un mode au-dessus de neutre sur les taux, un éventuel crash aurait lieu dans la période du mois qui s’écoule entre le conseil de juillet et le symposium de Jackson Hole, fixé cette année pour le week-end du 25-27 août.

    Bon les scalpeurs pensent comme ça et leurs analyses techniques les confortent. Mais dans le Wall Street mainstream personne ne pense que Powell va appuyer deux fois sur le bouton de la hausse des taux tout simplement parce qu'il aura toutes les excuses pour ne pas le faire. L'économie de guerre sans guerre, ça permet de continuer le QE et la planche et de tenir encore un peu en espérant un miracle économique.

    Bon alors, on verra bientôt si nous avons droit a un été sanglant ou si la peine est différée.









  • Burn out sociétal



    Le Standard & Poor’s 500 est officiellement entré dans le marché baissier, à -20% des sommets qui ont conduit l’indice à rejoindre le Nasdaq (-30%) et le Russell 2000 (-28%). Une question de jours et même le Dow Jones (-16%) rejoindra le club, peignant une image de Wall Street qui semble au moins irréelle. Parce que net d’un effondrement digne de corrections récentes et beaucoup plus médiatiques, la situation en Ukraine garantit un écran de fumée résolument efficace. Bref, la panique des premières pages des journaux et les ouvertures des nouvelles semblent encore loin. Incroyablement.

    Bon nous en France, la guerre en Ukraine est passée derrière la woke culture, l'intersectionnalité sujets qui passionnent les médias. Je suis tombé l'autre jour à la télé sur Mme Rossignol la sénatrice qui interrogeait le fils Marc Dorcel au sénat Le pornocrate était liquéfié car il ne comprenait pas la question.

    voilà la question qu’elle a posé « Je suis allée voir sur votre site. Vous avez une rubrique interraciale et dans cette rubrique, j’ai trouvé le synopsis d’un film : Gina, Chloé et Cheryl vont vous montrer comment on s’occupe d’une grosse bite black. Avez-vous aussi des films dans lesquels on dit comment s’occuper de grosse bite blanche ? Si cette référence, assez claire, a des représentations selon lesquelles les hommes noirs seraient dotés d’attributs avantageux dans la nature… ne véhiculait pas de représentation raciste en faisant appel à l’anatomie des personnes noires. »

    Le covid a accouché d'un burn out sociétal et d'un état d'épuisement psychique des populations, c'en est une démonstration nécro....



  • Casus Belli

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    Il est des gouffres et des exils économiques dont on ne revient pas. Des descentes lentes où l'économie minée se perd en ses relégations, s'alourdit d'hypothèques, s'endette et sombre. Un enchaînement sans fin, un cercle vicieux si jamais il y a en a eut un ; une succession inéluctable d’événements ; le désordre primitif en crée un second qui ne fait qu'aggraver le premier et conduit à un troisième,un troisième qui rend inévitable le quatrième et ainsi de suite jusqu'à soit atteint le plus bas et cela n'est pas encore le fond. Alors vient, la torture inhumaine de tout recommencer...

    La Fed et la BCE se prépare à ce grand renversement. Tout ce qu’il faut, c’est un casus belli qui peut être pipoter à l’opinion publique et pas seulement pour les initiés. Quelque chose de si drastique et impressionnant qu’il envoie des alarmes sur l’inflation et le pouvoir d’achat à la cave. Peut-être, une belle récession. De celles qui ont des arcs. Un casus belli si drastique qu’il fait d’une pierre les deux coups : comprimer la demande, espérant ainsi dégonfler certaines dynamiques et nécessairement bloquer toute tentative de normalisation de la politique monétaire.

    En clair, forcer les gens à moins consommer hors bulle verte, recréer du chômage tout en continuant la planche à billet pour protéger les actifs des hyper-riches et les banques.

    La crise économique c'est fantastique, la récession c'est la bonne ambiance...