Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ukraine - Page 2

  • TOP GUN DE LA PLANCHE A BILLETS

    bce,planche a billet,armement,exportation,ukraineBon les mecs, ayez quand même pas trop peur des gesticulations de Macron, la France étant le deuxième exportateur mondial d'armement, le consortium franco-allemand polonais pour produire des armes n'est juste qu'un moyen de réactiver la planche à la BCE avec Lagarde à vue et nous venir en secours puisque les seuls trucs que l'on sait exporter, c'est le luxe, le pinard et les armes....Thierry Breton a fait le job...

    Quel surfeur ce Macron

  • Dollar armement

    Si la crise monétaire des années 70 s'est terminée sans trop de casse, c'est parce que le dollar malgré la fin de la convertibilité or a pu conserver son rang de monnaie de réserve. La substance or a été remplacé par la puissance militaire et nous sommes passés du dollar or au dollar armement. Ce que le Président Eisenhower appelait déjà le complexe militaro-industriel a continué de se développer en devenant une économie de guerre permanente. Le passage de l'industrialisation à l'électronisation a généré de nouvelles armes et contraint le monde à s'équiper. L'argent n'est en sécurité qu'à Wall Street. C'est ainsi que le minotaure global fait financer ses déficits jumeaux commercial et budgétaire par le reste du monde.

    Nous le savons tous la guerre en Ukraine s'arrêtera le jour où les américains décideront qu'elle s'arrête.

    Dans le même temps, Biden lance l ' IRA (inflation Reduction Act) du protectionnisme comme j'avais vu et un investissement de 400 milliards de dol sur dix ans.

     il s'agit surtout d'être leader sur les secteurs stratégiques que vont présenter la transition écologique, qui sont en effet l'énergie, avec le solaire, la voiture électrique. Or les Chinois se sont positionnés depuis plus de 10 ans sur ces secteurs là en pratiquant un protectionnisme acharné de leur marché. C'est une réponse à cette situation, sous couvert de transition écologique et de la lutte contre l'inflation. L'idée est d'acheter des produits industriels qui ont très peu d'intrants chinois, donc la guerre commerciale est vraiment déclarée.

    L'Europe en est absente.

     

    En France on en est a subventionner l'achat de voitures électriques qui ne sont pas produites ici. Sous peu cela sera la déferlante des voitures chinoises 30% moins chères.

    Lemaire du village global tente de faire déclencher un plan européen. C'est toute la différence entre un fédéralisme choisi et une union monétaire qui fonctionne sur un fédéralisme non choisi par les peuples.

     

     

     

     

  • Guerre sans guerre et petits désaccords entre amis concurrents

    Vous connaissiez le dicton nécronomique « taux négatifs pour l'apéritif, déclaration de guerre pour le dessert ».

    Dans ce cadre, il faut voir la guerre sans guerre comme une opportunité de faire à nouveau fonctionner la planche.

    La Banque européenne d’investissement de l’UE estime le coût de la reconstruction de l’Ukraine à environ 1 000 milliards d’euros, soit le montant du budget de l’UE pour la période 2021-2027 et 40 % de plus que son fonds de relance post-pandémie

    L'Allemagne est exsangue comme tous les États membres.La seule façon de payer pour l’Ukraine serait que l’UE émette une dette commune.

     

    Certes, les dirigeants de l’UE se sont mis d’accord sur une dette commune pendant la pandémie. Mais l’inflation était négative à l’époque et tous les membres de l’UE étaient confrontés à une implosion économique alors que les confinements tuaient la demande dans toute l’Europe. Une fois que la paix aura prévalu en Ukraine, ils devront accepter une dette encore plus commune pour financer la reconstruction de l’Ukraine à un moment où les taux d’intérêt ont quadruplé, où l’inflation est endémique et où les avantages économiques pour les membres de l’UE seront forcément extrêmement inégaux.

    L’Allemagne craint déjà que la France insiste sur l’émission permanente et assez régulière de dette commune, à laquelle la classe politique allemande résistera, et pas seulement parce que la Cour constitutionnelle allemande s’est déjà prononcée contre . La raison plus profonde est que l’union fiscale que la France semble favoriser obligerait les conglomérats allemands à abandonner une pratique qui est dans leur ADN : accumuler des actifs américains qu’ils achètent sur le dos des importantes exportations nettes vers l’Amérique rendues possibles par la stagnation des salaires allemands et le gaz naturel sous-évalué.