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inegalités

  • Partager la pauvreté plutôt que la richesse

    crise sans fin,choc energie,petrole,pauvreté,richesse,inegalites,futur capitaiismeL’UE serait prête à imposer un embargo sur le pétrole russe immédiatement après le second tour de Français dimanche. Mais pourquoi attendre ? Peut-être parce que cela pousserait le baril dans la zone des 185 dollars, comme l’a rapidement prédit JP Morgan dans son dernier rapport

     La combinaison de la guerre et de l’inflation, la même qui a conduit aujourd’hui le FMI à réduire les estimations de croissance mondiale à la machette, assure la déflation contrôlée de la bulle obligataire exorbitante générée par deux années de programmes expansionnistes de pandémie des différentes banques centrales. Rien que la semaine dernière, une valeur de 400 milliards de dollars. Depuis les sommets, nous sommes déjà à un signe moins devant le chiffre remarquable de 6,4 billions de dollars.

    Nous devons redescendre. Et il est nécessaire de le faire de manière à ne pas déclencher un événement systémique qui génère une contagion de la part de la contrepartie et vers d’autres classes d’actifs. Actions et Immobilier.... Du moins pas tout de suite.

    Eviter un krack en faisant payer les ménages dans un contexte de déflation salariale

    Parce qu’il est toujours utile de se rappeler qu’en novembre, les États-Unis voteront pour les élections de mi-mandat et que la Fed devra fonctionner avec le bilan d’ici la réunion de Jackson Hole, malgré les proclamations formelles d’un resserrement quantitatif plus rapide que prévu et huit autres hausses de taux d’ici le 31 décembre. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Et ils crient à la récession.

    choc de l'énergie

    choc des matières premieres

    changement des habitudes de consommation

    unique réponse consommer moins la fameuse sobriété heureuse....

    le consommateur zombie va devoir muter...

    Une dézombification c'est comme une déradicalisation, ça prend énormément de temps,

    les ménages vont payer, les plus pauvres, l'économie se fera sur les dépenses sociales

    Pour le reste il va falloir partager la pauvreté

  • Une analyse du Docteur Doom

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    Valable pour les USA mais aussi pour nous règle nécronomique

    On joue ensemble, on paye ensemble

     

     

    À la fin de 2020, les marchés financiers - principalement aux États-Unis - avaient atteint de nouveaux sommets, dans l'espoir qu'un vaccin COVID-19 imminent créerait les conditions d'une reprise rapide en forme de V. Et avec les principales banques centrales des économies avancées maintenant des taux directeurs ultra-bas et des politiques monétaires et de crédit non conventionnelles, les actions et les obligations ont reçu un nouvel élan, mais ces tendances ont creusé l'écart entre Wall Street et Main Street, reflétant un K- a façonné la reprise de l’économie réelle. Ceux dont les revenus sont stables et qui peuvent travailler à domicile et puiser dans les réserves financières existantes se portent bien; ceux qui sont au chômage ou partiellement employés dans des emplois précaires à bas salaires s'en tirent mal. La pandémie sème ainsi les graines de plus de troubles sociaux en 2021: dans les années qui ont précédé la crise du COVID-19, 84 de la richesse boursière aux États-Unis était détenue par 10% des actionnaires (et 51% par le top 1 %), alors que les 50% les plus pauvres ne détenaient pratiquement aucune action. Les 50 premiers milliardaires aux États-Unis étaient plus riches que les 50% les plus pauvres de la population (une cohorte d'environ 165 millions de personnes). Le COVID-19 a accéléré cette concentration de richesse, car ce qui est mauvais pour Main Street est bon pour Wall Street. En supprimant de bons emplois salariés et en réembauchant des travailleurs à la pige, à temps partiel ou à l'heure, les entreprises peuvent augmenter leurs bénéfices et le cours de leurs actions; ces tendances s'accéléreront au fil du temps avec l'application plus large de l'intelligence artificielle et de l'apprentissage automatique (IA / ML) et d'autres technologies de remplacement de main-d'œuvre, à forte intensité de capital et axées sur les compétences.

    A travers l'expérience du télétravail, on voit poindre l'arrivée du paiement à la tâche

    Règle nécronomique : en période de crise, il existe toujours un moyen d'augmenter les profits, c'est de diminuer les salaires. En éliminant les congés payés par exemples ou les chèques restau pour les travailleurs à domicile...

     

  • La Grande Déconnexion explication des inégalités

    Les marchés boursiers étant tournés vers l'avenir, les cours actuels des actions peuvent refléter l'optimisme quant à l'arrivée imminente de vaccins efficaces contre le COVID-19 et des options de test et de traitement radicalement améliorées, ce qui permettrait une approche plus limitée et nuancée des verrouillages. Cette perspective peut être justifiée, ou il se peut que les marchés sous-estiment la probabilité d'une deuxième vague sévère cet hiver, et surestiment l'efficacité et l'impact des vaccins de première génération. Une seconde explication, peut-être plus convaincante, pour le marché boursier actuel. la performance est que les banques centrales ont poussé les taux d'intérêt à être négatifs ou a zéro.

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