Parmi ses 170 propositions, l’ancien patron de la BCE recommande notamment l’élaboration d’une « stratégie commune en matière de recherche », le développement des marchés boursiers européens pour faciliter les introductions en Bourse de sociétés innovantes, la création d’une « Union de l’énergie », un soutien ciblé pour la fabrication de certaines technologies propres, un plan d’action pour l’industrie automobile ou encore une coopération accrue dans l’innovation en matière d’armements. De 750 milliards à 800 milliards d’euros par an sont nécessaires, des besoins gigantesques qui surpassent en ampleur le plan Marshall de Washington ayant financé la reconstruction du Vieux Continent après la Seconde Guerre mondiale. L’équipe Draghi dit avoir fait appel au département recherche du Fonds monétaire international et à la Commission européenne pour mener des simulations. Verdict : ses projections sont réalistes, mais les investissements privés ne suffiront pas. « Plus les Etats membres se réformeront et lutteront contre la fragmentation du marché unique, moins on aura besoin d’aides publiques »,
la levée de boucliers a commencé dès la semaine dernière, de manière préventive. Le député PPE allemand Markus Ferber, qui fixe la ligne économique du parti depuis très longtemps, a sorti la grosse Bertha. « Draghi doit résister au réflexe italien traditionnel qui consiste à demander de nouveaux programmes d'investissement financés par la dette, prévenait-il.
le fameux trilemme de Rodrik Fédéralisme ou camisole doré
Le trilème de Rodrick avec Jean Pierre Crépin - YouTube
Cette fois ci cela va être dur de nous vendre le fantasme néo-libéral de nous transformer tous en entrepreneurs créateurs de richesses, recyclables et remodelables toujours au fait de toute innovation technologique permettant d’accroître la productivité.. On a vu à la TV des milliardaires dans les cryptos dont une partie finit en tôle. On a aussi vu les mecs de la Silicon Valley, les Bezos, les Musk mais on a encore plus vu au quotidien des Uberisés ou des livreurs auto-entreprécaires sur le visage desquels on pouvait lire la galère et la dépression ou le burn our.