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recessıon - Page 2

  • L'apocalypse selon Draghila

    trilemme rodrik,drahi,draghila,allemagne,recession,futurParmi ses 170 propositions, l’ancien patron de la BCE recommande notamment l’élaboration d’une « stratégie commune en matière de recherche », le développement des marchés boursiers européens pour faciliter les introductions en Bourse de sociétés innovantes, la création d’une « Union de l’énergie », un soutien ciblé pour la fabrication de certaines technologies propres, un plan d’action pour l’industrie automobile ou encore une coopération accrue dans l’innovation en matière d’armements. De 750 milliards à 800 milliards d’euros par an sont nécessaires, des besoins gigantesques qui surpassent en ampleur le plan Marshall de Washington ayant financé la reconstruction du Vieux Continent après la Seconde Guerre mondiale. L’équipe Draghi dit avoir fait appel au département recherche du Fonds monétaire international et à la Commission européenne pour mener des simulations. Verdict : ses projections sont réalistes, mais les investissements privés ne suffiront pas. « Plus les Etats membres se réformeront et lutteront contre la fragmentation du marché unique, moins on aura besoin d’aides publiques »,

    la levée de boucliers a commencé dès la semaine dernière, de manière préventive. Le député PPE allemand Markus Ferber, qui fixe la ligne économique du parti depuis très longtemps, a sorti la grosse Bertha. « Draghi doit résister au réflexe italien traditionnel qui consiste à demander de nouveaux programmes d'investissement financés par la dette, prévenait-il. 

     

    le fameux trilemme de Rodrik Fédéralisme ou camisole doré

    Le trilème de Rodrick avec Jean Pierre Crépin - YouTube

     

     

    Etat de lard un résumé nécro - NECRONOMIE (blogspirit.com)

  • Travail consommation mort

    liberalisme,capitalisme,recession,futur,deflation,crsh,crackCette fois ci cela va être dur de nous vendre le fantasme néo-libéral de nous transformer tous en entrepreneurs créateurs de richesses, recyclables et remodelables toujours au fait de toute innovation technologique permettant d’accroître la productivité.. On a vu à la TV des milliardaires dans les cryptos dont une partie finit en tôle. On a aussi vu les mecs de la Silicon Valley, les Bezos, les Musk mais on a encore plus vu au quotidien des Uberisés ou des livreurs auto-entreprécaires sur le visage desquels on pouvait lire la galère et la dépression ou le burn our.

    Cela va être dur de nous vendre les contrats seniors et de vanter les bienfaits d'une mort active. Une grande partie de la population est plus près de la mer que des coquillages et n'a plus le niveau de compétitivité et de sociabilité exigée. Il va bien falloir en tenir compte.

    Sinon l'armée recrute...

    et le pénitencier aussi

  • Quand le Docteur Doom parle..

    En vieillissant il devient pire que moi

     

     

    On peut aussi s’attendre à une mobilisation guerrière pour faire face aux effets perturbateurs de la « globotique » : la combinaison de la mondialisation et de l’automatisation qui menace un nombre croissant de métiers de cols bleus et de cols blancs, y compris les emplois créatifs et managériaux. Les gouvernements seront soumis à une pression croissante pour aider les laissés-pour-compte, que ce soit par le biais de régimes de revenu de base, de transferts fiscaux plus élevés ou de services publics élargis. Ces coûts resteront élevés même si l’automatisation entraîne une forte croissance économique. Par exemple, il en coûterait aux États-Unis 20 % du PIB rien que pour soutenir un maigre revenu de base universel (RBI) de 1 000 dollars par mois.

    Ensuite, il y a la lutte contre l’inégalité croissante des revenus et des richesses. Cette bataille devient de plus en plus urgente, maintenant que le malaise qui afflige les jeunes et de nombreux ménages de la classe moyenne et ouvrière alimente une réaction violente contre la démocratie libérale et le capitalisme de libre marché. Pour empêcher les régimes populistes d’arriver au pouvoir et de mener des politiques économiques irresponsables et insoutenables, les démocraties libérales devront dépenser massivement pour renforcer leurs filets de sécurité sociale – comme beaucoup le font déjà.

    Les risques associés à l’IA sont également de plus en plus évidents. Beaucoup s’inquiètent d’un chômage technologique permanent, non seulement parmi les cols bleus peu qualifiés, mais aussi dans les professions créatives. Dans un scénario extrême, l’économie pourrait croître à un taux de 10 % par an, mais avec un taux de chômage de 80 %. Un risque connexe est donc que l’IA soit une autre industrie où le gagnant rafle tout qui alimente l’inégalité des revenus et de la richesse.