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mutation

  • Michelin

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    Michelin, en début d'année annonçait une révolution sociale pour les salariés et aura connu le même sort que son bidendum historique. Faut pas jouer les gros bras face à la Money Power.

    Le beau geste de Michelin pour les salaires face à un SMIC "insuffisant" (auto-moto.com)

    Eh oui, une vraie révolution sociale  le chômage partiel dans les usines...Quelle innovation...

    Michelin contraint de ralentir sa production en France face à la crise automobile (journaldeleconomie.fr)

    Le parallèle est donc aisé entre les beaux discours et les publicités lénifiantes des pubs des journaux populaires d'autrefois qui me fascinaient enfant... 

    Retour dans le passé : « l’été dernier j’étais un gringalet, grâce à Bullworker me voilà marié  », ou encore « un joli visage attire mais… une belle poitrine retient…  » !

    Et pour les sans dents et les déchets de la mondialisation :

    « Plombez vous vos dents creuses vous-mêmes avec les boîtes ciment Olimpa "

    Nécronomiquement votre

  • Ordre de la dette

    849644764.jpgAvez-vous une idée de ce qu’il reste d’une machine à dépenser comme la France , avec une saignée de 60 milliards d’euros rien qu’en 2025, entre coupes dans les dépenses et nouvelles taxes ? Le grand toboggan qui mène au grand splaash la piscine des ténèbres de l'économie qui précède les décombres et le châtiment des neufs orifices nécro

    Vous qui me lisez depuis si longtemps le savez....Soixante milliards ont besoin d’une horizontalité impitoyable dans les coupes. Soixante milliards imposent la machette. Pas le scalpel idéologique qui prétend que la situation est momentanée alors qu'il s'agit d'une mutation comme nous n'en avons jamais connu.

    Et le gouvernement a basé ses calculs et ses prévisions sur un taux de croissance irréaliste de 1,1% et une inflation diminuant à 1,8% contre 2,1% cette année.

    Il nous reste deux ans avant de passer aux choses sérieuses. Profitons en ...Enfin, on va essayer...

     

    Nécronomiquement votre

     

  • No Money in my pocket

    Alors que le pouvoir créancier et l'ordre de la dette sont à nos portes, le point crucial à retenir est que toutes les recettes et remèdes que nous appliquions autrefois  seront précédés d'une seule question :

    En avons nous les moyens ?

    Ce que nous vivons n'est pas un hoquet passager, un ralentissement de l'économie qui précède une autre période d'expansion, un moment désagréable et temporaire qui va passer et appartenir à l'histoire, une fois que nous aurons bricolé un peu les impôts, les subventions, les allocations et les incitations destinés à stimuler une autre reprise par la hausse de la consommation. Les racines du mal sont allés beaucoup plus loin que notre possibilité de les atteindre.

    Les recettes traditionnelles ne financent plus l'innovation. J'en veux pour preuve l'Allemagne.

    La communication de Volkswagen sur son intention de fermer certaines usines en Allemagne a fait sensation. Ce serait la première fois que cela se produirait en 87 ans d’histoire. L'Allemagne a toujours été épargnée par la rationalisation des coûts. Pas cette fois. Cette fois, nous en sommes au sacrifice extrême. . Les 80% de responsabilité de ce que VW a communiqué résident dans les sanctions vertes.

     Tout y est. Car coupler un régime d’interdictions commerciales, financières et économiques et de vetos contre le principal fournisseur d’énergie à bas coût – la Russie – avec un agenda européen de destruction totale du secteur automobile au nom de la durabilité, équivaut à vouloir sanctionner l’entrée dans la phase terminale de désindustrialisation. , l’indice de la Bourse de Francfort continue sa course sans relâche. Totalement déconnecté.

    D’un côté, l’économie réelle et de l'autre la finance.

    Pour autant, , Volkswagen annonce pour la première fois son intention de fermer des usines pour faire face à la nécessité de réduire les coûts de production. Une situation qui reflète les difficultés que connaît l’ensemble du secteur au niveau national, notamment après l’effondrement des ventes de véhicules électriques neufs et par conséquent une réduction des bénéfices par rapport aux investissements réalisés. Le PDG du groupe Volkswagen, Oliver Blume, avait déjà récemment anticipé que l’entreprise adopterait un nouveau programme de coupes lors d’une interview exclusive au journal Welt dans laquelle il a confirmé le bilan négatif qui marquait une perte historique, relative au premier trimestre de 2024.
    Après 87 ans, 
    Volkswagen envisage pour la première fois la fermeture d’usines de production en Allemagne, une décision qui confirme la crise actuelle de l’ensemble du secteur automobile et, par conséquent, un ralentissement significatif de l’économie allemande qui, il y a quelques années encore, était tirée par les géants de l’industrie automobile. Le journal Bild a rapporté les déclarations officielles du PDG Oliver Blume, qui a déclaré que l’entreprise a préparé un programme de coupes, nécessaire pour compenser les dépenses engagées pour la conversion verte et l’abandon progressif des systèmes thermiques qui, cependant, n’a pas produit les effets escomptés. Les syndicats sont déjà sur le pied de guerre car la décision pourrait avoir un impact négatif en mettant en danger jusqu’à 110 000 emplois qui devaient être protégés par un accord de sauvegarde attendu jusqu’à la fin de 2029.

    Et nous petits français surendettés, incapables de dégager un excédent budgétaire, en avons nous les moyens ???