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NECRONOMIE - Page 5

  • Dans le donjon de Maîtresse Pustula dominant l'europe

     

    Exception agriculturelle…Où grincent les chimères

    Dans le monde moderne, l'individu ne dispose de choix que parce que ceux-ci sont déjà faits.  Nous n’avons de choix que devant le linéaire de l’hypermarché mondial.  Le spectateur prend au sérieux ce qui ne l'est pas, et inversement,  ce qui correspond à un besoin du système : le spectateur doit être en permanence l'homme de l'incertitude, face auquel les médias gardent toute initiative. C’est la raison pour laquelle même les medias du groupe Bolloré qui incitent même les agriculteurs à manifester leur colère n’en parlent pas car ils sont tous financés par la grande consommation.

    Tandis que la Chine et la Russie ont signé 26 accords opérationnels. de toute évidence, les médias ce jour-là ont déchaîné la bonne tenue de la mauvaise foi dans leurs reportages. D’autre part, ce jour-là, Reuters a joué le joker. Il a consulté en exclusivité le gouverneur de la Banque centrale ukrainienne, Andriy Pyshnyi, qui a confirmé que Kiev envisageait un ancrage monétaire avec l’euro. En fait, le cheval de Troie pour l’entrée dans l’UE. Via la BCE  Par coïncidence, avant que Donald Trump ne voit Ursula Von der Leyen qui, notoirement, encourage l’entrée de l’Ukraine dans l’Union par le biais d’une procédure accélérée. Avec ou sans laissez-passer OTAN.

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    Cela signifie que ls agriculteurs français et les éleveurs de poulet vont devenir paysagistes salariés par l’Etat.

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    Elle rigole pas Pustula Nous sommes dans le donjon de Maîtresse chaîne….Numero de carte bleue/Date d’expiration…Y avait qu’un mec comme DSK le polisseur des barres parallèles, le magicien des sphincters et son ministre  Dodo la Saumure qui aurait pu s’occuper de calmer ses ardeurs comme il l’avait fait à la tête du FMI avec les économistes femmes qui n’osaient plus rentrer dans son bureau…

    Pour mémoire

    DSK a Rikers Island ® Parodie Mozinor 2011

     

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  • Voyage au pays du capital fictif- Les Mozart de la Planche à billets

    1747162091281 (5).jpgAussitôt dit, aussitôt imprimé, il y a pas moins de sept jours, la Banque centrale  chinoise a donné le coup d’envoi de la nouvelle série d’assouplissements monétaires. Sans que les États-Unis n’aient cette fois le mot à dire sur la manipulation monétaire. Au contraire, garantir à la Fed l’occasion de maintenir en vie sa pantomime interne de confrontation avec la Maison Blanche, en reportant la coupure tant attendue au prochain FOMC (Federal Open Market Committee).

     . En fait, les bourses ont célébré  le report de 90 jours d’un régime tarifaire qui n’était pas en vigueur. Bref, le marché n’a rien célébré. Parce que lorsque vous êtes manipulé, le néant est votre référence. Qu’il s’agisse de swaps ou de contrats à terme.

    Ils savent qu’il n’y a jamais eu de guerre commerciale, parce qu’il n’y a jamais eu d’ennemi. Seulement des partenaires de théâtre. Des pantins géopolitiques tendus sur les ficelles d’un récit bancal, cousu de toutes pièces par ceux qui, à défaut de piloter l’économie réelle, préfèrent en orchestrer la fiction.

    Les rayons vides ? Une mise en scène.
    Une tension scénarisée pour remplir les chroniques économiques et justifier, comme par enchantement, les tours de passe-passe des banques centrales. L’inflation ? Même traitement. Un mot valise qu’on brandit comme un totem, quand il s’agit en réalité d’un instrument de narration, destiné à légitimer les interventions de ceux qui manipulent les curseurs sans jamais en assumer les conséquences.

    Et pendant que les analystes pérorent sur la “volatilité des marchés”, la Banque centrale chinoise, elle, ne perd pas de temps.
    Sept jours. Pas un de plus.
    Un petit tour de vis monétaire — ou plutôt un relâchement — et tout le monde applaudit. L’Amérique ? Silence radio.
    Ni tweets outrés, ni menaces de représailles : la Fed a désormais besoin de cette diversion pour maintenir son propre numéro d’illusionniste, coincée entre la Maison Blanche et un FOMC devenu organe de procrastination politique.

    Et les marchés ?
    Ils “célèbrent” le report de tarifs… qui n’étaient même pas appliqués.
    Rien.
    Ils ne célèbrent rien…Une partouze sans sexe…
    Car dans un monde où tout est calibré, retouché, médiatisé jusqu’à l’absurde, le vide devient norme, et la manipulation le moteur.
    Qu’il s’agisse de swaps, de contrats à terme, ou de pseudo-conflits commerciaux.
    La réalité n’est plus un facteur. Elle est devenue accessoire.

    Ils parait que le dernier réflexe des grands fauves est d’éjaculer sur le sol avant de mourir pour répandre leur semence. Alors couvrez-vous, il va pleuvoir...

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  • Trump is god  America, dernière saison — épisode fiscal

     trump,impot,dette;fiscalite,pourboire,chute,effondrementPersonne n'en a parlé mais Trump est passé à la phase 2 de son plan. Pour contrer l'inflation liée aux tarifs douaniers...

    Le locataire semi-lucide de la Maison Blanche a parlé : fini les taxes, vive la dette. Grand show populiste pour classes moyennes zombifiées et travailleurs précaires sous perfusion de pourboires. Les heures supplémentaires ? Sanctuarisées. Les pourliches ? Déclarés intouchables. Même les petits vieux perdent leur fiscalité, on leur offre une retraite défiscalisée au pays des opioïdes et des écrans plats.

    C’est Noël en mai. Tout est cadeau. Sauf que les cadeaux sont faits avec l’argent qu’on n’a plus. Résultat : des centaines de milliards évaporés en moins d’une phrase. Une réduction fiscale plus monstrueuse qu’un Golem keynésien sous amphétamines. Traduit en dette ? Dans les hauteurs stratosphériques : 37 trillions en actions, 1,2 trillion de charges d’intérêts par an — comme si l’économie américaine avait pris un crédit revolving sur la fin du monde.